Le Celt’hic rôde dans l’Est parisien en petit format acoustique ou en sortant le grand jeu. C’est alors une rythmique virevoltante de laquelle surgissent violon, bombarde, cornemuse et des refrains qu’on se surprend à chanter dans le métro...
Une dédicace spéciale de toute la family à Muriel, la cornemuse du Celt’hic et la muse tout court des Trois Chapeaux, puisque c’est elle qui assure la programmation.