A tous les programmateurs désireux de nous accueillir, voici quelques principes simples et élémentaires à retenir afin d’obtenir d’un Jack Helmut le meilleur de tout ce qu’il a dans le ventre et dans le coeur.
Un bon repas est essentiel à la santé mentale d’un Jack Helmut, et le Jack Helmut n’est pas végétarien. Un vin pas trop mauvais, car un Jack Helmut a le palais délicat, fait partie du bon repas.
La bière à volonté est le carburant ordinaire du Jack Helmut en action. A vrai dire, il s’agit plus exactement du carburant BP, mais il n’en veut pas au programmateur qui n’assure pas l’adjuvant P conseillé pour la décompression, bien qu’il en ait rencontré de tel. Si le programmateur nourrit quelques craintes infondées pour ses fûts (le ratio jeu/boisson d’un Jack Helmut étant nettement à l’avantage du premier), quelques bières acquises à l’épicerie du coin et préalablement rafraîchies suffisent à le combler.
L’argent est un média par lequel on dit beaucoup de choses, même à son insu.
De toute façon, le Jack Helmut en action se dépense sans jamais compter. Et l’énergie brûlée l’empêche toujours d’être rassasié.